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Article SACRED ODE TO THE ETERNAL. ← Page 2 of 3 →
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Sacred Ode To The Eternal.
Quand du soleil , l'avant-courriere , Au monde annonce la clarte ; Je vois , dans sa douce lumiere , Le sourire de ta bonte . A l ' aspect du jour , la nature , M ' offredans sa riche parure
, , De ses dons l ' eclat somptueux ; Et dans l'ombre de la nuit meme , Brille a mes yeux le diademe , Qui ceint ton front majestueux . Cessez de creer des fantomes , Mortels aveugles et pervers ;
Qui , combinant de vains atomes Osez expliquer l'Univers . Me direz-vous en quelle source , L ' astre du jour , ouvrant sa course , De ses feux puisa les torrents ? Quel pouvoir lin marqua sa route ? Quel bras a la celeste voute , Suspendit ces mondes errants ?
De 1 mfini sonde 1 abime , Athee , esprit auclacieux ; Prends ton essor , d ' un vol sublime , Parcours l'immensite des Cieux . Interroge au sein de l ' esjiace , Ces corps radieux dont la masse Roule dans un cerile enflamme ; Qn'ils parlent ! mais pour te confondre , A ces temoins peux-tu repondre : C ' est un Dieu qu'ils ont proclame .
Oui , d ' une cause universelle , Partout eclateut les effets ; Partout , Providence eternelle , Tu te montres clans tes bienfaits . Qui pourrait nier ta puissance ? De toi decoule l ' existence , Le neant concut a ta voix ; Au-dessus des Cieux et des ages , Tranquille ; tu vois tes ouvrages Suivre tes immuables lois .
Ma gloire est d invoquer ton Etre , Et mon bonheur de te benir ; Si je suis ne pour te connaitre , Que suis-je pour te definir ? En vain , 1 'intelligence humaine , De sa lueur pale , incertaine , S ' efforcerait de m ' celairer ; A mon cceur tu te fais entendre , Qu ' ai-je besoin de te comprendre , Quand tout me dit de t'adorer .
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Sacred Ode To The Eternal.
Quand du soleil , l'avant-courriere , Au monde annonce la clarte ; Je vois , dans sa douce lumiere , Le sourire de ta bonte . A l ' aspect du jour , la nature , M ' offredans sa riche parure
, , De ses dons l ' eclat somptueux ; Et dans l'ombre de la nuit meme , Brille a mes yeux le diademe , Qui ceint ton front majestueux . Cessez de creer des fantomes , Mortels aveugles et pervers ;
Qui , combinant de vains atomes Osez expliquer l'Univers . Me direz-vous en quelle source , L ' astre du jour , ouvrant sa course , De ses feux puisa les torrents ? Quel pouvoir lin marqua sa route ? Quel bras a la celeste voute , Suspendit ces mondes errants ?
De 1 mfini sonde 1 abime , Athee , esprit auclacieux ; Prends ton essor , d ' un vol sublime , Parcours l'immensite des Cieux . Interroge au sein de l ' esjiace , Ces corps radieux dont la masse Roule dans un cerile enflamme ; Qn'ils parlent ! mais pour te confondre , A ces temoins peux-tu repondre : C ' est un Dieu qu'ils ont proclame .
Oui , d ' une cause universelle , Partout eclateut les effets ; Partout , Providence eternelle , Tu te montres clans tes bienfaits . Qui pourrait nier ta puissance ? De toi decoule l ' existence , Le neant concut a ta voix ; Au-dessus des Cieux et des ages , Tranquille ; tu vois tes ouvrages Suivre tes immuables lois .
Ma gloire est d invoquer ton Etre , Et mon bonheur de te benir ; Si je suis ne pour te connaitre , Que suis-je pour te definir ? En vain , 1 'intelligence humaine , De sa lueur pale , incertaine , S ' efforcerait de m ' celairer ; A mon cceur tu te fais entendre , Qu ' ai-je besoin de te comprendre , Quand tout me dit de t'adorer .